Qualité de vie : où fait-il bon vivre (et travailler) en Italie ?

par | Juil 16, 2024 | Impulsion Business, Impulsion Expat | 4 commentaires

Le charme des Dolomites et le centre névralgique de la métropole : voilà où il fait bon vivre en Italie !

Dans le cadre de mon projet Impulsion Italie (qui, je vous le rappelle, a été imaginé pour mettre mon expertise et mon expérience au service d’entreprises développant un business franco-italien, mais aussi des particuliers actifs aspirant à une expatriation de l’autre côté des Alpes), j’ai décidé de vous présenter la vaste enquête sur la qualité de vie en Italie réalisée par ItalOggi – Ital Communications. Mon choix s’est naturellement porté sur cette vaste étude pour le sérieux et la qualité de l’analyse, tout comme la sélection pointue des différents paramètres étudiés. Les résultats sont aussi révélateurs qu’utiles pour tous ceux qui ambitionnent de s’installer en Italie ou qui visent une approche professionnelle du marché. Le compte rendu que je vous dévoile ici (qui sera d’ailleurs scindé en différentes thématiques, qui respecteront les dimensions explorées dans le cadre de l’enquête et qui seront proposées en plusieurs volets) a pour objectif de constituer un véritable outil d’aide à la prise de décision dans le choix du lieu de vie, d’implantation d’activité professionnelle, ou bien, encore, d’achat immobilier en Italie.

Qualité de vie en Italie<br />
Le TOP 5 des villes où il fait bon vivre

Qualité de vie en Italie
Le TOP 5 des villes où il fait bon vivre

A Bolzano et Milan… on vit mieux !

En matière de qualité de vie, dans l’enquête 2023 réalisée par ItalOggi – Ital Communications, c’est la Province de Bolzano, une habituée du podium (elle était seconde en 2022), qui vient se placer en tête du classement général. Suivent ensuite deux villes métropolitaines, Milan, à la seconde place, qui améliore son score par rapport à 2022, et Bologne, en troisième position comme en 2022. On retrouve ensuite les provinces de Trente et Florence. En fin de classement on retrouve les provinces siciliennes de Messine et Caltanissetta – respectivement 105ème et 106ème – et, pour clore, Crotone en Calabre qui se positionne dernière, à la 107ème place.

Pour réaliser ce classement pointu, les critères qui ont été pris en compte sont : affaires et emploi, environnement, enseignement et formation, population, criminalité et sécurité, revenu et richesse, sécurité sociale, système sanitaire, temps libre.

 

Bolzano

En 2023, la qualité de vie en Italie s’est révélée bonne ou acceptable (groupes 1 et 2) dans 63 Provinces sur 107, en accord avec les deux dernières années (elles étaient en effet 64 en 2022 et 63 en 2021). Il s’agit pour la plupart de provinces de l’arc alpins, central et oriental, de la plaine padane (plaine du Pô) et de l’Apennin tosco-émilien, avec des ramifications vers la Toscane, l’Ombrie et les Marches. A l’inverse, les provinces du Sud et des îles se positionnent presque toutes dans les groupes 3 et 4 de l’enquête, à savoir des groupes composés de zones dont la qualité de vie a été évaluée comme étant médiocre ou insuffisante.

L’enquête 2023 confirme une tendance : la fracture entre le centre-nord, plus résilient et performant, et l’Italie méridionale et insulaire, caractérisée par une vulnérabilité persistante.

Mais, en 2023, comme le souligne l’enquête de ItalOggi – Ital Communications, une autre tendance, que l’on peut qualifier de post-Covid, a fait son apparition : la forte reprise, ces deux dernières années, qui a intéressé les provinces et villes métropolitaines du centre-nord appartenant aux clusters « Métropoles ». Cette tendance est bien représentée par le très bon score du chef-lieu de la Lombardie, en seconde position, des positions de Bologne et de Florence, mais aussi des performances de Turin (31ème) et Rome (33ème), qui remontent d’une vingtaine de places par rapport au classement de 2022.

Qualité de vie en Italie - classement général 2023

Qualité de vie – Classement final 2023 des provinces italiennes (groupe 1 : qualité de vie bonne ; groupe 2 : qualité de vie acceptable ; groupe 3 : qualité de vie médiocre ; groupe 4 : qualité de vie insuffisante)

Les provinces et villes métropolitaines du centre-nord sont sans le moindre doute les protagonistes de la reprise. La séparation avec les zones les moins développées se fait en conséquence plus nettes, des territoires comme le Mezzogiorno et les îles, où progresses des zones de difficulté sociale et personnelle. Voilà les grandes tendances qui émergent de cette enquête.

Comme le souligne ItalOggi – Ital Communications, la « qualité de vie » est un phénomène multidimensionnel caractérisé par des dynamiques non linéaires, déterminé par un ensemble extrêmement hétérogène de causes qui se superposent et interagissent entre elles sur le territoire et dans le territoire. C’est ainsi seulement sur le long terme qu’il devient possible d’identifier d’éventuelles tendances de fond. Et es nouveautés méthodologiques introduites ces dernières années pour réaliser l’enquête ont permis de mettre en évidence dans le détail les tendances, et cela même dans un contexte incertain, dû aux récents développements macroéconomiques et, surtout, géopolitiques.

Milano

La fracture nord/sud

La première tendance confirmée par cette enquête est la fracture entre le centre-nord, plus résiliente par rapport aux évènements en cours, et l’Italie méridionale et insulaire, caractérisée par une vulnérabilité persistante. En outre, conséquence directe de la complexité de l’actuel scénario et de l’incertitude qui en dérive, la seconde tendance confirmée par l’enquête est la présence significative de zones de détresse sociale et personnelle, principalement situées dans le Mezzogiorno. Le phénomène assume une importance particulière si l’on considère le panorama actuel de la finance publique, qui empêche aux policy makers d’intervenir de manière adéquate pour atténuer les déséquilibres territoriaux. La troisième tendance qui se démarque clairement ces dernières années est la forte reprise qui touche les provinces et villes métropolitaines du centre-nord appartenant au cluster Métropoles.  D’ailleurs, le score final des provinces de ce groupe se confirme en tête comme l’année précédente. Cela démontre que, dans la phase de sortie de l’urgence sanitaire, ce sont les grandes zones urbaines du centre-nord qui montrent la plus grande capacité de réaction. Pour avoir une « photo » de l’état de la qualité de la vie en Italie, l’enquête fait référence au nombre de provinces italiennes dans lesquelles la qualité de vie a été évaluée comme bonne ou acceptable et à la population relative. Il est utile de rappeler ce qui a émergé dans les enquêtes publiées à partir de 2019. Les 65 provinces recensées dans les deux premiers groupes cette année-là, c’est-à-dire à la veille de la crise pandémique, confirme l’amélioration légère mais constante de la qualité de la vie observée les deux années précédentes. En 2020, à cause de l’urgence sanitaire, on a assisté à un recul avec seulement 60 caractérisée par une qualité de vie bonne ou acceptable. L’année suivante, le nombre de provinces italiennes dans lesquelles la qualité de vie a résulté bonne ou acceptable est monté à 63. Cette donnée a été confirmée en 2022 avec 64 provinces dans lesquelles la qualité de vie a été estimée comme bonne ou acceptable.

Bologna

En 2023, la qualité de vie s’est avérée bonne ou acceptable dans 63 provinces sur 107, un résultat en accord avec celui enregistré les deux dernières années et motivé par le passage d’une province de l’Italie centrale du groupe 2 au groupe 3 et de celui d’une province de l’Italie méridionale et insulaire du groupe 4 au groupe 3. En confrontant les résultats des enquêtes publiées ces dernières années il en ressort un cadre essentiellement stable. Comme l’année précédente en effet, seulement deux provinces situées dans le nord-ouest du pays se caractérisent par une qualité de vie médiocre ou insuffisante, tout comme la seule province située dans le nord-est, tandis que 4 se trouvent dans l’Italie centrale, contre les 3 provinces de l’édition précédente. Les provinces qui figurent dans les derniers groupes (groupe 3 et 4) sont en grande majorité des provinces issues de l’Italie méridionale et insulaire : elles sont 37, comme l’année précédente. Si on traduit ces résultats en termes de population, cela signifie que 21.909.000 résidents (soit 37,2% de l’entière population italienne) vivent sur des territoires caractérisés par une qualité de vie médiocre ou insuffisante, contre 21.789.000 de l’édition passée, soit 36,9% de la population. Si nous resserrons encore plus l’attention sur le dernier groupe (groupe 4, qualité de vie insuffisante), nous pouvons noter que, pour la seconde année consécutive des signaux faibles, certes, mais encourageants d’amélioration, cependant encore insuffisants pour pouvoir parler de véritable tendance. En effet, la population résidente dans les 20 provinces (21 l’année précédente) caractérisée par un niveau insuffisant de qualité de vie s’élève à 12.228.000 habitants, soit 20,7% de la population italienne, contre 13.036.000 (22,7%) recensés l’année précédente. Il est nécessaire de préciser que ces 20 provinces sont disséminées dans l’Italie méridionale et insulaire, mettant en évidence une fracture profonde entre les provinces du centre-nord, où la qualité de la vie s’améliore, et celles du Mezzogiorno, où la qualité de la vie continue de s’attester sur des niveaux insuffisants.

Trento

Le groupe de tête

Si l’on analyse le cadre des 65 provinces dans lesquelles la qualité de vie se veut bonne ou acceptable, cette année aussi les groupes 1 et 2 comprennent une grande partie des provinces de l’arc alpin central et oriental, de la plaine padane et de l’Apennin tosco-émilien, avec des ramifications consolidées vers la Toscane, l’Ombrie et les Marches.

La qualité de la vie dans les provinces du nord-ouest se veut stable, avec 23 provinces sur 25 recensées qui se retrouvent dans les deux groupes de tête, comme dans l’édition précédente. Une situation à peu près similaire caractérise le nord-est, avec 21 provinces sur 22 qui se classent dans les deux groupes de tête et 17 sur 22 dans le groupe d’excellence, confirmant de nouveau le résultat de l’année précédente. En revanche, l’Italie centrale enregistre un léger recul avec 18 provinces sur 22 recensées dans les deux premiers groupes (contre 19 provinces recensées l’année précédente), un résultat qui reste cependant en accord avec deux des éditions passées. Quant aux provinces de l’Italie méridionale et insulaire, une seule province du Mezzogiorno sur 38 vient se classer dans les premiers deux groupes, confirmant les résultats de 2022.

Si l’on focalise l’attention sur les 27 positions de tête (contre les 32 de l’année précédente), on retrouve dans ce groupement 8 provinces du nord-ouest, contre 10 lors de l’édition passée (dans l’ordre Cuneo dans le Piémont, puis Aoste, et les provinces de Milan, Monza e della Brianza, Brescia, Mantoue, Bergame et Lecco en Lombardie), 17 provinces du nord-est comme l’année précédente (les provinces de Bolzano et Trento, respectivement première et quatrième lors de cette édition de l’enquête, dans la région du Trentin-Haut-Adige ; Padoue, Vérone, Vicenza, Trévise, Belluno et Venise en Vénétie ; Pordenone et Udine dans la région du Frioul-Vénétie Julienne ; Bologne, Parme, Modène, Reggio Emilia, Forlì-Cesena, Rimini et Ravenne en Émilie-Romagne) ; enfin, deux provinces viennent représenter l’Italie centrale (Florence et Sienne en Toscane), contre 5 lors de l’édition de 2022.

Ces résultats confirment que l’écart qui contrastait la plupart des provinces du centre-nord – des provinces de moyenne et petite dimension et caractérisées par des niveaux de qualité de vie élevés et stables dans le temps – et les relatives villes métropolitaines (Milan, Bergame, Brescia, Venise, Bologne, Florence) a été franchi, ces villes figurant cette fois elles-aussi dans en tête.

Florence

La première et la dernière province

Bolzano est la province qui enregistre les niveaux les plus élevées en matière de qualité de vie en 2023, venant confirmer ses très bons résultats déjà obtenus lors des dernières éditions de cette enquête. Depuis 1999, Bolzano se positionne, de façon stable, dans le groupe d’excellence, et la province est même déjà venue se classer 5 fois à la première place, n’étant jamais descendue dans au-delà de la 10ème place du palmarès durant ces 25 éditions de l’enquête. Le résultat excellent obtenu par Bolzano lors de cette édition 2023 de l’enquête est lui-même déterminé par l’excellente positon que la province occupe dans bon nombre des domaines pris en compte dans cette enquête. La province de Bolzano se place en effet dans le groupe de tête (groupe 1) dans bien 6 dimensions sur les 9 étudiées et dans le groupe 3 dans les dimensions restantes.

Quoi qu’il en soit, le cas de Bolzano illustre bien l’évolution similaire des autres provinces situées principalement dans le nord-est et appartement au cluster Adriatique, dont le score moyen au niveau des différentes dimensions excède le score moyen national dans bien 7 dimensions sur 9 (voir notre tableau ci-dessous).

Quant à la province de Crotone, elle se place dans le groupe 2 en ce qui concerne la dimension relative au système sanitaire, dans le groupe 3 du côté des dimensions relatives à la population et à la criminalité et sécurité, et, enfin, dans le dernier groupe (groupe 4) pour les 6 dimensions restantes (à savoir Affaires et emploi, Environnement, Enseignement et formation, revenu et richesse, sécurité sociale et temps libre).

Dimension dont la performance moyenne dans le cluster est supérieure à la moyenne nationale

Les clusters provinciaux

La qualité de vie en Italie n’est pas seulement caractérisée par une distribution grandement hétérogène entre le nord et le sud du pays, mais aussi par des dynamiques qui, souvent, ont opposé des provinces « mineures » caractérisées par une qualité de vie élevée et de grands centres urbains. Il apparaît donc intéressant d’appliquer une méthodologie d’analyse dont l’objectif est d’identifier des regroupements (cluster) de provinces sur la base d’un critère de similitude, pour ensuite pouvoir procéder à une première lecture transversale du phénomène analysé. L’application d’une technique de « cluster analyisis » hiérarchique sur les 107 provinces, en utilisant comme variables les scores finaux des 9 dimensions prises en considération dans cette enquête, a permis cinq regroupements de provinces (voir le tableau ci-dessous).

Le cluster Méditerranéen regroupe principalement des provinces et villes métropolitaines situées dans l’Italie méridionale et insulaire. Y figurent en effet, outre deux provinces de la région Latium (Frosinone et Latina), la province d’Isernia ainsi que toutes les provinces de Campanie, des Pouilles, de la Calabre et de la Sicile, mais elle exclue les provinces de Campobasso et les provinces des Abruzzes, de la Basilicate et de la Sardaigne, qui ont donc des caractéristiques plus similaires à des provinces de dimension analogue situées dans l’Italie du nord et du centre.

Le cluster Francigena comprend des provinces principalement situées dans le nord-ouest, avec un prolongement significatif vers la Toscane, mais des provinces similaires en termes de structure sont situées aussi dans le nord-est. Un groupe de provinces, géographiquement contiguës, forment notamment un couloir qui s’étend des Alpes occidentales à la Ligurie et à la Toscane tyrrhénienne, cela jusqu’à la province de Grossetto.

Le cluster de la Plaine Padane regroupe un continuum de provinces réparties entre le Piémont oriental, la Lombardie et la Vénétie, jusqu’à la province de Rovigo ainsi que d’autres provinces aux caractéristiques similaires en termes de structures des scores dimensionnels (à savoir ceux des dimensions pris en compte dans l’étude), mais situées dans d’autres répartitions territoriales. En termes de population, la répartition géographique la plus représentées dans le cluster de la plaine padane est le nord- ouest.

Le cluster Adriatique présente, quant à lui, des caractéristiques très similaires au cluster précédent à la différence que la répartition géographique la plus représentée est le nord-est.

Enfin, le cluster Métropole vient classer toutes les villes métropolitaines du centre-nord, à l’exception de Venise, auxquelles s’ajoutent aussi quelques provinces dont les caractéristiques sont majoritairement semblables à celles d’une ville métropolitaine, cela surtout en termes d’attraction et de flux touristiques.

Clusters provinciaux

Il est très intéressant de noter que 4 provinces/villes métropolitaines de fait forment un système unique qui va de la mer Tyrrhénienne à l’Adriatique et qui comprend les provinces de Pise, Florence, Bologne et Ravenne.

Les principales informations relatives au 5 clusters provinciaux en 2023 sont regroupées dans le tableau ci-dessous. En examinant ce tableau, on peut aisément remarquer que, contrairement à ce qui s’est vérifié dans des éditions passées de cette enquête, le cluster Métropoles est caractérisé par le score final plus élevé.

Un tel résultat indique que les systèmes, moyens ou grands, du centre-nord du pays continuent de montrer une meilleure capacité de reprise des chocs par rapports aux autres aires géographiques du pays. Dans le tableau suivant, on retrouve la liste des dimensions pour lesquelles le score moyen en 2023 des provinces appartenant à chacun des 5 clusters excède le score moyen national. En regardant de près les informations condensées contenues dans ce tableau, il est clair que chacun des clusters provinciaux est caractérisé par une structure absolument particulière, qui présente des points forts et des faiblesses.

En conclusion, la lecture transversale rendue possible par le classement en clusters permet de dégager un cadre plus net et détaillé des tendances qui caractérisent la qualité de la vie des provinces italiennes.

Informations clusters provinciaux

A propos de l’enquête

A sa 25ème édition en 2023, l’enquête de ItalOggi – Ital Communications sur la qualité de la vie dans les provinces italiennes est réalisée avec deux grands objectifs : le premier est de maintenir vivant le débat sur le bien-être – pas seulement économique – des communautés locales et sur les actions qui peuvent être mises en œuvre pour l’augmenter. Le second objectif vise à fournir des idées et des indications utiles pour l’activité des décideurs politiques. D’où l’importance d’avoir un instrument de monitorage, à savoir cette enquête, qui, à sa 25ème édition, se veut l’une des études statistiques sur la qualité de la vie les plus complètes publiée aujourd’hui en Italie. L’étude s’articule en neuf dimensions d’analyse (à savoir affaires et emploi, environnement, enseignement et formation, population, criminalité et sécurité, revenu et richesse, sécurité sociale, système sanitaire, temps libre), 14 sous-dimensions et un nombre élevé d’indicateurs de base (92), permettant ainsi d’enquêter de manière approfondie sur les aspects multiples relatifs à la qualité de la vie au niveau territorial. Au côté des habituels classements, l’enquête introduit un instrument de lecture transversal des réalités provinciales. Les 107 provinces italiennes sont classées en 5 clusters (Méditerranée, Via Francigena, Adriatique, Plaine padane, Métropoles), permettant d’obtenir une photographie plus détaillée des spécificités provinciales. L’enquête ItalOggi – Ital Communications est coordonnée par Alessandro Poli du Département des Sciences Sociales et Économiques de l’Université de la Sapienza de Rome.

Données et informations : Source ItalOggi – Ital Communications

Vous avez aimé cet article ? N'hésitez pas à le partager !

4 Commentaires

  1. Cassandre

    Merci pour cet article très instructif et richement documenté !

    Réponse
  2. Giulia

    Très intéressant ce classement général et l’article l’est tout autant. J’attends avec impatience la suite du dossier et le palmarès des provinces pour tous les critères pris en compte. Merci !

    Réponse
    • Géraldine Ohrt - Rédactrice du blog Impulsion Italie

      Merci Giulia ! La suite arrive bientôt.

      Réponse

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *